Publication provisoire

les Gémeaux .. l'art d'aimer l’âme-soeur qui nous ressemble .. et qui nous rassemble tous deux, en un miroir complémentaire l'un de l'autre ..

.. aimer cette âme-soeur, qui étrangement est miroir de nous-même, .. qui comme par envoûtement, nous complète .. véritable miroir alchimique de nous même .. ce désir tendrait à nous faire oublier l’absence de présence de l'âme en nous-même .. cette solitude existentielle .. qui attire les lumières et les souffrances de la passion ..
.. ce désir qui ré-anime le feu, le feu du besoin fusionnel, d’aimer ce qu’on devient quand on aime l'autre par passion .. par ce feu alchimique qui nous dévore et nous (dé-)termine .. en même temps, les Gémeaux c nous ramènent au symbole du couple androgyne qui, de par son amour fusionnel, dépasse les limites caricaturales d'un couple sexué ou asexué .. le couple androgyne devient alors un Soleil Alchimique .. un processus de conscience supérieure par symbiose ..

.. Mardi, 20 mai 2025, à 20:52, en milieu de soirée ( GMT+2 ), en mode tropical, nous entrons dans la Maison des Gémeaux c, मिथुन [mithuna], avec l'ascendant solaire AS à 28°18’ de la solitude abstraite du Scorpion h, ( par conséquent, avec le descendant solaire DS à 28°18’ du clan familial du Taureau b, en recomposition grâce à sa conjonction 0 à Uranus I à 27°28’, amenant du changement concret dans la matière, en conjonction 0 avec la créativité du Soleil A à 0°00 en accord avec les idéaux exaltés des Gémeaux c ) célébrant la magie alchimique d’un couple d’individus qui s’émulsent l’un l’autre avec affinité et complicité émotionnelle .. et se mettent en miroir d'idéation symbiotique, l’un de l’autre avec isotonicité et affectivité passionnelle .. un couple fusionnel produit infiniment plus de puissance qu'un couple ordinaire, mais quand l'un des deux éléments du moteur fusionnel partira en faillite, tout le couple défaillira ..
.. étymologiquement miroir signifie : « voir dans l’autre, dans l'objet du désir, un reflet de la lumière en émanation de soi-même » ..
.. en sanskrit, मि-थुन [mi-thuna] est la composition de : मि [mi-] qui signifie : ce qui par symbiose nous observe et nous traverse, .. ce qui nous juge et nous mesure .. ce qui nous trouve et nous emporte .. ce qui nous saisit et nous transforme .. révélant ou transmutant notre « moi » ..
.. et de थुन [-thuna] qui signifie : le sortilège et la magie, .. le charme et la tonalité, .. le flot qui nous saisit par ensorcèlement, .. la vibration qui nous remplit par son magnétisme  .. ce feu qui transforme par chance nos souffrances en lumière .. ou par malheur nos lumières en souffrance .. 
.. ou alors au constat que tout n'a été que simulacre d'amour, ne servant qu'à la folie narcissique et destructrice d'un désordre intérieur, qui avale tout sentiment comme un trou noir .. 
.. मिथुन [mithuna] est ce vide, cette absence de présence intérieure qui subitement s’est faite combler par le désir de plaire .. et le plaisir de désirer ..
..  मिथुन [mithuna] représente l’énergie de la déesse, mère de l’amour absolu, .. qui transforme tout ce qu’on voit et tout ce vit intensément, en miroir de soi-même .. ou en miroir de la déesse ».. 
.. « au final, sans céder à un quelconque narcissisme, nous sommes la personne la plus importante de notre vie, .. et l’amour passionnel pour son âme-soeur, .. ou pour sa déesse-mère, notre matrice alchimique, nous rappelle étrangement, que sans désir d'aimer l'autre autant que soi-même, la vie n'a pas de sens .. et pas d'âme .. qu'il est beau et bon de savoir de qui passionnellement on dépend » ..
.. « l’amour passionnel et fusionnel dévoile à nos yeux le vide existentiel qui depuis la nuit des temps, depuis notre séparation physique de la mère matricielle, nous a chéri et choyé .. il montre l’absence existentielle qui nous habite .. dans la tradition indo-européenne, les contes de l’amour fusionnel de jumeaux, d'âme-soeurs qui habitent nos mythes et nos légendes, transforme en quelque sorte, un amour incestueux, en un amour alchimique passionnel, poussant nos parties terrestres et humaines, à flirter avec nous parties célestes et divines »..